Pas vraiment. Juste une solution temporaire, à long terme, pour le confort des passagers du train dans le Veurne, ma ville. Mais peut-être que cette ville n’est aussi que mon lieu de vie temporaire et à long terme ? La condition humaine….
L’endroit où je vis importe peu. Je me sens à la fois chez moi et totalement étranger. Une question d’existentialisme, à l’aube de mon soixantième anniversaire….
De la distance en trop? Intéressant. Si ça peut te rassurer, je ne suis vraiment chez moi nulle part. L’as je vais à Paris Samedi (en principe) je sais que j’adore cette ville mais je sais aussi que je vais m’accrocher avec certains compatriotes… C’est comme ça.
60? Tous mes compliments cher ami. En Juillet?
60. Il me reste encore presque un an de grâce avant de pouvoir mettre ce chiffre magique sur mon CV. On a l’impression que tout doit encore commencer : rentrer à la maison, déployer une carrière, assurer l’avenir, tout faire pour acquérir le bonheur ultime. Bref, je suppose que ça fait partie d’une petite ‘crisette’ (= néologisme flamand) existentielle qui vient avec l’âge.
‘crisette’? Ça me plaît bien. Encore un an, bon, pas de souci.
Maintenant tout (re) commencer? On peut commencer n’importe quoi (ou presque) à n’importe quel age. J’ai bien commencé à bloguer après 60 balais… J’ai aussi recommencé à dessiner après 40 ans de ne pas lever un crayon. Fais ce que tu veux.
Pose-toi la question: où aimerais-tu faire de la photo, ta passion?
C’est la même gare que les “lonely stairs”? 😉
Pas vraiment. Juste une solution temporaire, à long terme, pour le confort des passagers du train dans le Veurne, ma ville. Mais peut-être que cette ville n’est aussi que mon lieu de vie temporaire et à long terme ? La condition humaine….
La condition humaine? Je suis en train de relire Malraux… Où aimerais-tu vivre?
L’endroit où je vis importe peu. Je me sens à la fois chez moi et totalement étranger. Une question d’existentialisme, à l’aube de mon soixantième anniversaire….
De la distance en trop? Intéressant. Si ça peut te rassurer, je ne suis vraiment chez moi nulle part. L’as je vais à Paris Samedi (en principe) je sais que j’adore cette ville mais je sais aussi que je vais m’accrocher avec certains compatriotes… C’est comme ça.
60? Tous mes compliments cher ami. En Juillet?
60. Il me reste encore presque un an de grâce avant de pouvoir mettre ce chiffre magique sur mon CV. On a l’impression que tout doit encore commencer : rentrer à la maison, déployer une carrière, assurer l’avenir, tout faire pour acquérir le bonheur ultime. Bref, je suppose que ça fait partie d’une petite ‘crisette’ (= néologisme flamand) existentielle qui vient avec l’âge.
‘crisette’? Ça me plaît bien. Encore un an, bon, pas de souci.
Maintenant tout (re) commencer? On peut commencer n’importe quoi (ou presque) à n’importe quel age. J’ai bien commencé à bloguer après 60 balais… J’ai aussi recommencé à dessiner après 40 ans de ne pas lever un crayon. Fais ce que tu veux.
Pose-toi la question: où aimerais-tu faire de la photo, ta passion?
Volgend jaar 60? Denk aan het liedje van Udo Jürgens ” Mit 66 Jahren, da fängt das Leben an !” een opkikker!
Een opkiplekker